Eglise St-Maurice de Mutzig
Samedi 21 décembre 2002
 
Plateau au profit des oeuvres de l'équipe missionnaire au Congo.

Extraits Sonores
Photos

Aujourd’hui, je m’arrête.
Je m’arrête et m’interroge.
Quel chemin ai-je suivi jusqu’à présent ? Dans quel chemin vais-je m’engager afin de donner un sens nouveau à ma vie ?
Peut-être qu’en appréhendant le monde avec un regard neuf, je trouverai le bonheur.
Alors, pour découvrir sa source, mettons-nous en route !

Partir
Julien Clerc
Depuis l'enfance
Je suis toujours en partance
Je vais je vis
Contre le cours de ma vie

Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure

Partir Partir
Même loin de quelqu'un
Ou de quelqu'une
Même pas pour aller chercher fortune
Oh partir sans rien dire
Vivre en s'en allant
Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure

Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire

Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps
Et on n'appareille
Pour aucun soleil
Et pendant ce temps
On est vivant...
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure

Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure

Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Et en s'envolant
Et les gens l'argent
Seraient du vent
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps...

Une des caractéristique principale de l’Homme est certainement sa liberté : constitué de la même manière que tous les êtres vivants de la Création, il s’en distingue cependant par la conscience qu’il a de sa propre existence. Cette situation propre à l’Homme engage sa liberté, elle lui impose la question du sens de son existence. Nous avons toujours le choix de l’ignorer en nous enfermant dans les tâches quotidiennes, ou au contraire d’accepter le goût de l’Infini, de l’Absolu, que cette conscience du monde inscrit en nous. Nous avons chaque jour le choix entre subir notre existence ou en chercher le sens, la vivre et la célébrer !

Ayangqikaza
Ayangqikaza Ayasubamagwala Atikunkono sibuyelemuva (bis)
Qinisela ninamagwawe sekuseduze aphosiyakona (bis)

Écoute au fond de toi.

Alleluia
Extrait (1.5 Mo)

Alleluia (x3)
Slava tiebie Boze ! (x3)

L’Homme a aussi des capacités sociales extraordinaires. Ecouter, c’est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un… C’est lui dire : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là…

Ecouter, c’est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l’autre. C’est comme une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.

Ecouter, ce n’est pas chercher à répondre à l’autre, sachant qu’il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C’est refuser de penser à la place de l’autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

Ecouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l’attention, du temps, une présence affectueuse.

La prière c’est un peu ça : nous parlons à Dieu et il nous écoute, simplement, de toute son affection, sans donner de conseils, sans essayer d’arranger les choses immédiatement. Ensuite c’est aussi à nous de l’écouter et de rester attentifs à Celui qui vient !

Go tell it on the mountain

R : Go tell it on the mountain
Over the hills and every where.
Go tell it on the mountain
That Jesus Christ is born !

1. In the time of David some called Him a King ;
and if a child is true born, Lord Jesus will hear him sing.

2. When I was a seeker, I sought both night and day ;
I ask the Lord to help me, and He show ‘d me the way.

3. He made me a watchman upon a city wall ;
and if I am a Christian I am the least of all.

L’Homme est aussi soumis à de nombreuses tensions qui peuvent l’empêcher d’être heureux.

Au delà des ses besoins vitaux, boire, manger, dormir, il a aussi des besoins affectifs : être reconnu, se sentir en sécurité, être aimé !? Lorsque ses besoins ne sont pas satisfaits, naissent des peurs, des angoisses, surgissent alors l’agressivité, la jalousie, la quête du pouvoir, la possessivité…

Oui, l’Homme est un être sans cesse tourmenté, tiraillé, animé de pulsions, devant apprendre à gérer des frustrations et des contrariétés, capable du meilleur et du pire.

L’Homme est aussi soumis à de nombreuses tensions qui peuvent l’empêcher d’être heureux.

Au delà des ses besoins vitaux, boire, manger, dormir, il a aussi des besoins affectifs : être reconnu, se sentir en sécurité, être aimé !? Lorsque ses besoins ne sont pas satisfaits, naissent des peurs, des angoisses, surgissent alors l’agressivité, la jalousie, la quête du pouvoir, la possessivité…

Oui, l’Homme est un être sans cesse tourmenté, tiraillé, animé de pulsions, devant apprendre à gérer des frustrations et des contrariétés, capable du meilleur et du pire.

La Cumparsita    
People call her La Cumparsita.
They will tell you there’s no one sweeter.
You would love her if you should meet her ;
She’s the loveliest senorita.
There is no one who can compare with
Her dark eyes and her shining hair.
With her you’ll know that your life would be complete.

All alone he walked the dark streets.
Across the sky the clouds were chasing.
The sound of voices, footsteps behind,
Set his heart racing.
In this place he vowed to meet her.

How could he know she would betray him ?
He saw the flash of steel
No more her love he’ll feel,
And never more you’ll hear him say

People call her La Cumparsitasita.
They will tell you
There’s no one sweeter, sweeter
You would love her if you should meet her, meet her,
She is the loveliest senorita.
There is no one who can compare with her dark eyes and
Her bright and shining hair
With her you’ll know your life would be complete

Dans notre quête du bonheur, il nous arrive de passer par des moments de souffrance.
C’est le cas de la femme qui enfante.
Sa douleur n’est pas mesurable mais la joie qui suit est immense.
Elle peut donner un sens à cette souffrance.
La douleur est effacée par l’amour qui en résulte.
En fait, si on pouvait rester émerveillé par ce qui se passe au quotidien, on réussirait à faire en sorte que la douleur soit aussi merveilleuse que la joie.
On saurait ainsi comment faire face aux épreuves de la vie.

Si la confiance du cœur était un commencement de tout…
La confiance est un don de soi, un geste d’abandon et de responsabilité.
On donne sa confiance sans savoir comment l’autre va la recevoir.
Lorsque l’enfant pose une question et attend une réponse, lorsqu’il tend la main pour aller là où il ne peut encore aller seul, il dit, par tout son corps, cette confiance éperdue qui le fait grandir en humanité.
Une telle confiance rend capable d’un amour désintéressé.
Elle n’exige rien, mais elle attend tout.

STABAT MATER

1.Stabat Mater dolorosa
Juxta crucem lacrimosa,
Dumpendebat Filius, (bis)

2. Cujus animam gementem,
Contristatam et dolentem,
Per transivit gladius, (bis)

3. O quam tristis et afflicta
Fuit illa benedicta
Mater Unigeniti, (bis)

Amen

Si la confiance du cœur était un commencement de tout…
La confiance est un don de soi, un geste d’abandon et de responsabilité.
On donne sa confiance sans savoir comment l’autre va la recevoir.
Lorsque l’enfant pose une question et attend une réponse, lorsqu’il tend la main
pour aller là où il ne peut encore aller seul, il dit, par tout son corps,
cette confiance éperdue qui le fait grandir en humanité.
Une telle confiance rend capable d’un amour désintéressé
Elle n’exige rien, mais elle attend tout.

Erdelezi

Sa o Roma babo, E bakren cinen. A me coro, dural besava.
A a daje, amaro dive. Amaro dive erdelezi. Ediwado babo,
amenge bakro. Sao Roma, daje. E bakren cinen. Eeee…Sao Roma, babo babo, Sa o Roma daje. Sa o Roma, babo babo,
Erdelezi. Erdelezi, Sa o Roma Daje. Eeee…Sa o Roma, babo babo,
Sa o Roma daje. Sa o Roma, babo babo, Eeee….Erdelezi, Erdelezi.
Sa o Roma Daje

L’homme qui te ressemble

J’ai frappé à ta porte
J’ai frappé à ton cœur
Pour avoir bon lit
Pour avoir bon feu
Pourquoi me repousser ? Ouvre-moi mon frère ! …

Pourquoi me demander
La longueur de mon nez
L’épaisseur de ma bouche
La couleur de ma peau
Et le nom de mes dieux ? Ouvre-moi mon frère ! …

Je ne suis pas un noir
Je ne suis pas un rouge
Je ne suis pas un jaune
Je ne suis pas un blanc
Mais je ne suis qu’un homme. Ouvre-moi mon frère ! …

Ouvre-moi ta porte
Ouvre-moi ton cœur
Car je suis un homme
L’homme de tous les temps
L’homme de tous les cieux
L’homme qui te ressemble ! …

Viens mon frère ! Ensemble on va semer des grains de folie et vivre quelque chose de vrai… Ensemble !

Ensemble
Jean Jacques Goldmann
Souviens-toi Etait-ce mai,
novembre ? Ici ou là ?
Etait-ce un lundi ?
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi
Reviens-moi, de tes voyages
Si loin, reviens-moi
Tout s'ajoute à ma vie
J'ai besoin de nos chemins qui se croisent
Quand le temps nous rassemble
Ensemble, tout est plus joli
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi

Souviens-toi, ensemble
Nous l'avons franchi
Souviens-toi, ensemble
Nous l'avons franchi

Passer les épreuves ensemble… Oui, mais ça sert à quoi si les peines reviennent encore… Quel est le sens de la vie si elle n’est qu’une succession perpétuelle de joie et de souffrance ? Face à cette question notre cœur a besoin d’être nourri d’une espérance, d’une bonne nouvelle qui nous assure que la violence et l’injustice n’auront pas le dernier mot face à l’amour. Cette bonne nouvelle quelqu’un a un jour donné sa vie pour qu’on puisse la comprendre.

Ain’t that good news

I got a crown up in the Kingdom
Ain’t that good news

I got a crown up in the Kingdom
Ain’t that good news

I’m going to lay down this world
Going to shoulder up my cross
Goin’ to take it home to Jesus
Ain’t that good news

I got a harp up in the Kingdom
Ain’t that good news…

I got a robe in the Kingdom
Ain’t that good news…

I got a Saviour in the Kingdom
Ain’t that good news…

 

Aux sources du bonheur, le pardon.
C’est un acte indéfinissable
Ou plutôt qui signifie plein de choses.
Chacun a sa propre vision du pardon.
Pardonner c’est aimer
Aimer c’est pardonner
Lorsque l’on pardonne,
On apaise l’esprit de l’autre
Ainsi que notre propre esprit.
On se sent libéré
Et on libère l’autre.
Pardonner, c’est redonner sa confiance
Redonner cette partie de soi à l’autre.
Pardonner, c’est l’amour et l’amitié,
Que l’on donne en toute sincérité.
 
Alleluia (x3)
Slava tiebie Boze ! (x3)

 

Et si on prenait du temps.
Un peu de temps pour se retrouver seul, en couple ou entre amis, de manière à se déconnecter du bruit et de l’agitation.
Réapprenons à écouter, s’évader, se vider de tous les tracas, il y a du bien être dans le silence de l’esprit et de l’âme.
Voyez comme la nature, les arbres, les fleurs et l’herbe croissent dans le silence.
Voyez comme ces moments paisibles vous donnent une énergie nouvelle pour transmettre vos joies.
 
Sana sananina
Extrait (3.6 Mo) 

Sana sananina Sana Sana sa (bis)
Sana Sana Sana sananina Sana Sana sa (bis)

Je voudrais un monde.
Un monde où tout le monde s’aime et se veuille du bien,
Où l’on ne soit qu’avec soi-même,
Où l’on puisse enfin faire le bien sans se faire voir de travers.
Un monde où l’amour et la joie soient les maîtres,
Où les guitares, les flûtes et tous les violons du monde
Jouent un air de victoire sur l’oubli des autres.
Un monde vécu au ras du sol
Où nous pourrions nous embrasser sans passer pour
Des pédés ni pour des obsédés.
Un monde où l’on puisse dire à la fille ou au garçon qui passe : « je t’aime », et où ils répondraient par ces grands sourires, ces grands yeux surpris mais pleins de force.

L'envie d'aimer
Les dix commandements
C'est tellement simple
L'amour
Tellement possible
L'amour
A qui l'entend
Regarde autour
A qui le veut
vraiment

C'est tellement rien
D'y croire
Mais tellement tout
Pourtant
Qu'il vaut la peine
De le vouloir
De le chercher
Tout le temps

Refrain
Ce sera nous, dès demain
Ce sera nous, le chemin
Pour que l'amour
Qu'on saura se donner
Nous donne l'envie d'aimer

Ce sera nous, dès ce soir
A nous de le vouloir
Faire que l'amour
Qu'on aura partagé
Nous donne l'envie d'aimer

C'est tellement court
Une vie
Tellement fragile
Aussi
Que de courir
Après le temps
Ne laisse plus rien
A vivre
Refrain

C'est tellement fort
C'est tellement tout
L'amour

Puisqu'on attend
De vies en vie
Depuis la nuit
Des temps

Refrain

ACCUEILLIR, c’est accepter ce qui est autre, quelqu’un d’autre, autre chose.

Si l’on s’engage dans cette aventure de l’accueil, on s’ouvre la possibilité de connaître autrui, de recevoir dans sa vie une vie différente, de faire naître ensemble quelque chose de nouveau qui sera l’amitié, l’amour, l’échange, qui pourra aussi être la foi.

Celui qui s’ouvre totalement à l’autre qui vient vers lui, saura accueillir le visiteur qui frappe à la porte pour venir rompre le pain et partager sa vie.

Porte ouverte a qui viendra

Refrain
Porte ouverte a qui viendra
Nous vivrons ton évangile ;
Jesus Christ tu nous diras
Le tout autre qui fait vivre,
Dieu soleil de l’au delà
Dieu lumière sur nos pas.

1. Lumière d’un visage
Rayonnant d’humanité,
Présence de l’image
Que Dieu-même a façonnée,
Clarté du Fils de l’homme
Qui nous vient de l’infini,
Lumière au cœur de l’autre,
Bonne Nouvelle aujourd’hui !

3. Lumière du Royaume
Dans le champ des plus petits,
Bon grain de la Parole
Qui s’éveille et qui mûrit,
Sagesse des plus pauvres
Que l’amour fera grandir
Lumière au cœur de l’autre,
Bonne Nouvelle aujourd’hui !


6. Lumière du prodigue
Qui découvre le pardon,
Festin qui le délivre
Du désert de l’abandon,
Louange au Dieu qui sauve
Le pécheur venu vers lui,
Lumière au cœur de l’autre,
Bonne Nouvelle aujourd’hui !
9. Lumière du partage
Dans un monde aux mille faims,
Richesse d’une table
Pour qui cherche un peu de pain,
Amour qui réconforte
L’étranger, le sans-abri,
Lumière au cœur de l’autre,
Bonne Nouvelle aujourd’hui !

Nous tenons à remercier :

Les dessins sont copyright Alan Schmitt, Joël Urban et Cantarelle

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