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Extraits Sonores

Nous sortîmes du village : alors commença la féerie et je sentis naître un amour qui devait durer toute ma vie.
Un immense paysage en demi-cercle montait devant moi jusqu’au ciel : de noires pinèdes, séparées par des vallons, allaient mourir comme des vagues au pied de trois sommets rocheux.
Autour de nous, des croupes de collines plus basses accompagnaient notre chemin, qui serpentait sur une crête entre deux vallons. Un grand oiseau noir, immobile, marquait le milieu du ciel, et de toutes parts, comme d’une mer de musique, montait la rumeur cuivrée des cigales. Elles étaient pressées de vivre, et savaient que la mort viendrait avec le soir.
La Gloire de mon Père – Marcel Pagnol

Qui a tué grand-maman
Paroles et musique : Michel Polnareff

Il y avait du temps de grand-maman
des fleurs qui poussaient dans son jardin
le temps a passé seules restent les pensées
et dans tes mains il ne reste plus rien.

Refrain :
Qui a tué grand-maman, est-ce le temps
où les hommes qui n’ont plus l’ temps
d’ passer le temps ?
la la la la la la...

Il y avait du temps de grand-maman
du silence à écouter
des branches sur les arbres, des feuilles sur les branches
des oiseaux sur les feuilles et qui chantaient.

Refrain

Le bulldozer a tué grand-maman
et changé ses fleurs en marteaux piqueurs
les oiseaux pour chanter ne trouvent que des chantiers
est-ce pour cela que l’on te pleure ?

Imaginez une chenille. Elle passe la plus grande partie de son temps à regarder d’en bas les oiseaux voler, et s’indigne de son propre destin et de sa forme. « Je suis la plus méprisable des créatures, pense-t-elle, laide, répugnante, condamnée à ramper sur la terre. »
Un jour, cependant, la Nature lui demande de tisser un cocon. La voilà effrayée : jamais elle n’a tissé de cocon. Croyant être en train de bâtir sa tombe, elle se prépare à mourir. Bien que malheureuse du sort qui était le sien jusque-là, elle se plaint encore à Dieu : « Au moment où je m’étais enfin habituée, Seigneur, vous me retirez le peu que je possède ! » Désespérée, elle s’enferme dans son cocon et attend la fin.
Quelques jours plus tard, elle constate qu’elle s’est transformée en un superbe papillon. Elle peut voler dans le ciel et les hommes l’admirent. Elle s’étonne du sens de la vie et des desseins de Dieu.
Maktub - Paulo Coehlo

I Believe
Paroles et musique : E. Drake, L. Graham, J. Shirl, Al Stillman

I believe for ev’ry drop of rain that falls
a flower grows.
I believe that somewhere in the darkest night
a candle glows.
I believe for ev’ryone who goes astray
someone will come to show the way.
I believe
I believe.

I believe above the storm the smallest pray’r
will still be heard.
I believe that someone in the great somewhere
hears ev’ry word.
Ev’ry time I hear a new-born baby cry
or touch a leaf
or see the sky
then I know why
I believe!
Ev’ry time I hear a new-born baby cry
or touch a leaf
or see the sky
then I know why
I believe!

Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ?
Un serment fait d’un peu plus près, une promesse
Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,
Un point rose sur l’i du verbe aimer ;
C’est un secret qui prend la bouche pour oreille,
Un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille,
Une communion ayant un goût de fleur,
Une façon d’un peu se respirer le cœur,
Et d’un peu se goûter, au bord des lèvres, l’âme !
Cyrano de Bergerac, Acte III scène IX – Edmond Rostand

Une belle histoire
Paroles : Pierre Delanoë. Musique: Michel Fugain  
C’est un beau roman
C’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le Midi, le Midi

Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l’autoroute des vacances
C’était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la Providence
Alors, pourquoi penser aux lendemains

Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par le courant
Se sont raconté leurs vies qui commençaient
Ils n’étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s’étaient trouvés au bord du chemin
Sur l’autoroute des vacances
C’était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leur main
Comme on cueille la Providence
Refusant de penser aux lendemains

C’est un beau roman
C’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le Midi, le Midi

Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l’autoroute des vacances
C’était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la Providence
En se faisant un signe de la main

Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le Midi
C’est un beau roman
C’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui

Un banquier se promène au bord de l’eau dans un petit village côtier. Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons.
L’investisseur complimente le pêcheur sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
- « Pas très longtemps »
- «  Mais alors, pourquoi n’êtes vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? »
Le pêcheur répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille.
- « Mais que faites-vous le reste du temps ? »
- « Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie. »
- « Je peux vous aider :
Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps.
Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau.
Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers.
Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine.
Vous pourriez alors quitter votre petit village pour une grande capitale d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. »
- « Combien de temps cela prendrait-il ? »
- « 15 à 20 ans »
- « Et après ? »
- « Après, c’est là que ça devient intéressant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions. »
- « Des millions ? Mais après ? »
- « Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme, et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis. »

Dust in the wind
Paroles : Kansas
I close my eyes, only for a moment, and the moment’s gone.
All my dreams, pass before my eyes, a curiosity
Dust in the wind, all they are is dust in the wind.
Same old song, just a drop of water in an endless sea
All we do, crumbles to the ground, though we refuse to see

Dust in the wind, all we are is dust in the wind

Don’t hang on, nothing lasts forever but the earth and sky
It slips away, and all your money won’t another minute buy.

Dust in the wind, all we are is dust in the wind.
Dust in the wind, everything is dust in the wind.

Certains d’entre nous estiment l’amour ou l’affection qu’on leur porte aux présents qui leurs sont faits. Plus le cadeau a de la valeur, plus ils pensent être aimés. Mais aimer quelqu’un ne se résume pas à une valeur matérielle. Aimer quelqu’un c’est être là dans les moments joyeux, c’est être heureux du bonheur de l’autre, mais c’est également être là dans la douleur ou la maladie. Alors envoyons valser ces idées matérialistes et cette société de consommation et revenons à des sentiments plus humains, au lieu de nous noyer dans le paraître.
Laure Hochstetter

J’envoie valser
Zazie
J’en vois des qui s’donnent,
donnent des bijoux
dans le cou
c’est beau mais quand même
ce ne sont que des cailloux

des pierres qui vous roulent, roulent
et qui vous coulent
sur les joues
j’aime mieux que tu m’aimes
sans dépenser des sous

moi je m’en moque
j’envoie valser
les truc en toc
les cages dorées
toi quand tu m’serres très fort
c’est comme un trésor
et ça
et ça vaut de l’or

j’en vois des qui s’lancent des regards
et des fleurs
puis qui s’laissent quelque part
ou ailleurs
entre les roses et les choux
j’en connais des tas qui feraient mieux de s’aimer un peu
un peu comme nous
qui nous aimons beaucoup

et d’envoyer
ailleurs valser
les bagues et les coeurs
en collier
car quand on s’aime très fort
c’est comme un trésor
et ça
et ça vaut de l’or

moi pour toujours
j’envoie valser
les preuves d’amour
en or plaqué
puisque tu m’serres très fort
c’est là mon trésor
c’est toi
toi qui vaut de l’or

- Oh ! mais nous avons des tas d’heures libres.
- Des heures libres, oui. Mais le temps de penser ? Si vous ne conduisez pas à cent cinquante à l’heure, une vitesse qui ne permet de songer qu’au danger, vous faites je ne sais quel sport ou restez assis dans une pièce où il vous est impossible de discuter avec les quatre murs du téléviseur. Pourquoi ? Le téléviseur est réel. Il est présent. Il a ses dimensions. Il vous dit ce qu’il faut penser, vous le hurle à la figure. Il doit avoir raison. Il semble avoir raison. Il vous pousse à un tel rythme vers ses conclusions que votre esprit n’a pas le temps de s’écrier : « C’est idiot. »
Fahrenheit 451 – Ray Bradbury

Wade in the water
Traditional Spiritual
Arranged and adapted by Kirby Shaw

Listen, children, and listen well,
to this story we will tell.
It’s all about faith and courage too,
and how they’ll always see you through.
You just wade, wade, wade in the water.

Out of Egypt to the edge of the sea,
Hebrew children they did flee,
Pharoah’s armies did pursue,
but Moses knew just what to do,
He said
Wade in the water, children
Wade in the water,
God's gonna trouble the water.

Moses said, “I’ve got news that’s true,
fear not, the Lord’s gonna fight for you!”
Then he held up his rod
’n’ stretched forth his hand,
and the sea opened up
towards Canaan land!
You just
Wade in the water …

Big walls of water left and right,
Hebrew children run in’ towards the light,
leanin’ on the Lord ev’ry step of the way,
and they all crossed over that very day!
Safe at least and so amazed,
singing songs of grateful praise,
they turned to see the enemy
swallowed up in the boiling sea!
You can
Wade in the water …

Jésus dit à ses disciples : « Voilà pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous le vêtirez. Car la vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement. Observez les corbeaux : ils ne sèment pas et ne moissonnent pas, ils n’ont ni cave ni grenier ; et Dieu les nourrit. Vous valez beaucoup plus que les oiseaux ! Qui de vous peut, par ses inquiétudes, prolonger tant soit peu son existence ? Si donc vous ne pouvez rien faire, même pour si peu, pourquoi vous inquiétez-vous du reste ?
Recherchez plutôt le royaume et cela vous sera donné en plus. N’aie pas peur petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume. »
Luc 12, 22-26 ; 31-32

Mon âme se repose en paix
Taizé
Mon âme se repose en paix sur Dieu seul.
De Lui vient mon salut.
Oui sur Dieu seul, mon âme se repose,
se repose en paix.

En Dieu seul, le repos pour mon âme lui seul mon Rocher, lui seul mon Rocher, mon Salut.
En Dieu seul repose-toi, ô mon âme, de lui vient mon espoir.
En Dieu, mon salut et ma gloire, le rocher de la force.
Fiez-vous en lui, vous tous, devant lui épanchez votre coeur : Dieu est notre abri !

La liberté n’est pas une chose dont on vous fait cadeau, on peut vivre en pays de dictature et être libre : il suffit de vivre contre la dictature.
L’homme qui pense avec sa tête à lui est un homme libre.
L’homme qui lutte pour ce qu’il croit juste est un homme libre.
On ne va pas mendier sa liberté aux autres.
La liberté, il faut la prendre.
Le pain et le vin – I. Silone

S’nami bog
Liturgie orthodoxe

S’nami Bog.
Razouméitié iazytzy,
i pocariaïtiésia
iaco s’nami Bog.
Dieu est avec nous.
Entendez, peuples,
et soumettez-vous
car Dieu est avec nous.

Un vieil ermite fut un jour invité à se rendre à la cour du plus puissant roi de son temps.
« J’envie un saint homme qui se contente de si peu, lui dit le roi.
– J’envie votre Majesté qui se contente de moins que moi, rétorqua l’ermite.
– Comment pouvez-vous dire cela, alors que tout ce pays m’appartient ? s’exclama le roi, offensé.
– Précisément, répondit le vieil ermite. Moi j’ai la musique des sphères, j’ai les rivières et les montagnes du monde entier, j’ai la lune et le soleil, parce que j’ai Dieu dans mon âme. Mais votre Majesté n’a que ce royaume. »
Maktub - Paulo Coehlo

Le vent
Paroles : Michel Scouarnec
Musique : Jo Akepsimas

Refrain :
Le vent souffle ou il veut
Et toi tu entends sa voix,
Mais tu ne sais pas d’où il vient,
Et tu ne sais pas où il va,
Le vent.

As-tu compté les grains de sable
sur le bord de la mer ?
As-tu compris les chants des vagues,
aux pays des matins clairs ?

Quand tu regardes les étoiles
au manteau de la nuit,
Tu voudrais bien lever le voile
qui te masque l’infini.

Il est si long le long voyage
sur un sol inconnu
Il est si loin l’autre rivage
que tu cherches les pieds nus.

Tout, autour de nous, change sans cesse.
Chaque jour, le soleil illumine un monde nouveau. Ce que nous appelons routine est rempli d’occasions nouvelles, mais nous ne savons pas voir que chaque jour est différent du précédent.
Aujourd’hui, quelque part, un trésor vous attend. Ce peut être un petit sourire, ce peut être une grande conquête, peu importe. La vie est faite de petits et de grands miracles. Rien n’est ennuyeux, car tout change constamment.
L’ennui n’est pas dans le monde, mais dans la manière dont nous voyons le monde.
Comme le dit le poète : « Parcourir les routes, rentrer à la maison, et voir tout comme si c’était la première fois. »
Maktub - Paulo Coehlo

Proud Mary
Paroles et musique : John Fogerty

Left a good job in the city
Workin’ for the man every night and day
I never lost one minute of sleep
Worryin’ about the way things might have been

Chorus
Big wheels Keep on turnin
Proud Mary keeps on burnin’
And we’re rollin’
Rollin, rollin on the river

Cleaned a lot of plates in Memphis,
and I pumped a lot of tanks down in New Orleans
But I never saw the good side of the city until I hitched
a ride on the river boat Queen

Chorus

If you come down to the river
I betcha you’re gonna find some people who live
You don’t have to worry
If you got no money
The people on the river are happy to give

I said a big wheel keeps on turnin’
Proud Mary keeps on burnin’, rollin’, rollin’
Rollin’ on a river
Rollin’, rollin’ on a river

Et la mer et l’amour ont l’amer pour partage,
Et la mer est amère, et l’amour est amer,
L’on s’abîme en l’amour aussi bien qu’en la mer,
Car la mer et l’amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux qu’il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu’on souffre pour aimer,
Qu’il ne se laisse pas à l’amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l’amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l’amour, sa mère sort de l’eau,
Mais l’eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l’eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j’eusse éteint son feu de la mer de mes larmes
Et la Mer et l’Amour - Pierre de Marbeuf (1596 - 1645)

La mer
Paroles et musique : Charles Trenet
La mer
Qu’on voit danser
le long des golfes clairs
A des reflets d’argent
La mer
Des reflets changeants
Sous la pluie

La mer
Au ciel d’été confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer bergère d’azur
Infinie
Voyez
Près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez
Ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées

La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour
La mer
A bercé mon coeur pour la vie

Un enfant de Colombie s’adresse aux adultes
« Tu dis que je suis l’avenir… Ne me maltraite pas aujourd’hui.
Tu dis que je suis l’espoir de la paix… Ne m’incite pas à faire la guerre.
Tu dis que je suis promesse de Bien… Ne me confie pas le mal.
Tu dis que je suis la lumière de tes yeux… Ne m’abandonne pas aux ténèbres.

Je n’espère pas seulement un signe de ta tendresse, mais aussi que ton amour m’élève. Je ne te prie pas seulement de me donner des jeux, je te demande d’être, pour moi, un exemple en paroles et en actes.

Je ne suis pas seulement un ornement sur ton chemin ; je suis quelqu’un qui frappe à ta porte, au nom de Dieu. Apprends moi le travail et l’humilité, la sincérité et le pardon.
Aie de la compassion envers moi et guide moi ; pour que je sois bon et juste.
Corrige moi pendant qu’il est encore temps, aide moi aujourd’hui, pour que tu ne pleures pas demain. »

O Sifuni Mungu
Paroles et musique :
David Maddux, Marty McCall, Mmunga Mwenebulongo Mulongoy, Asukulu ’Yunu Mukalay

Viumbe vyo te vya Mungu wetu na Mfal me wetu
Pazeni sauti ilinasi mwimbe
All Men, watu wote, All Creatures, viumbe vyote,
Ev’rybody, awaye yote, Praise the Lord ! sifu Mungu ! (bis)
All creatures of our God and King, O, sifuni Mungu !
lift up your voice and with us sing ! O, sifuni Mungu !
Thou burning sun with golden beam Im beni ! Im beni !
Thou silver moon with softer gleam. Pazeni sauti im beni.

Thou flowing water, pure and clear,
make music for thy Lord to hear !
Thou fire, so master full and bright. Im beni !
That givest man both warmth and light ; Im beni !
Viumbe vyo te vya Mungu wetu (bis)
Pazeni sauti ! Pazeni sauti ! Tu sifu Mungu !
Let all things their Creator bless, O, sifuni Mungu !
and worship Him in humbleness, O, sifuni Mungu !
Praise the Father, praise the Son, Im beni ! Im beni !
and praise the Spirit, Three in One ! Pazeni sauti im beni.

O, sifuni Mungu ! O, sifuni Mungu ! Tu sifu Mungu !
Pazeni sauti na wote im beni ! O, sifuni Mungu !

« Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :
- S’il te plaît…apprivoise-moi ! dit-il.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! »
Le petit Prince - Antoine de Saint Exupéry

Love is all
Paroles et musique : Roger Glover

Everybody’s got to live together
All the people got to understand
So, love your neighbour
Like you love your brother
Come on and join the band

Well, all you need is love and understanding
Ring the bell and let the people know
We’re so happy and we’re celebrating
Come on and let your feelings show

Love is all, well love is all,
Love is all, can’t you hear the call
Oh, love is all you need
Love is all you need at the Butterfly Ball

Ain’t you happy that we’re all together
At the ball in nature’s countryside
And although we’re wearing different faces
Nobody wants to hide

Love is all and all is love and
It’s easy, yes it’s so easy
At the Butterfly Ball where love is all
And it’s so easy

All you need is love and understanding
Hey, ring the bell and let the people know
We’re so happy and we’re celebrating
Let your feelings show

Love is all, yes love is all at the Butterfly Ball
Love is big, love is small
Love is free, love is all
At the Butterfly Ball

When you back’s to the wall
When you’re starting to fall
You got something to lean on
Love is everything
It can make you sing at the Butterfly Ball
Love is all, I say love is all, yes love is all
At the Butterfly Ball

Les « Chanteurs à L’Étoile » et leurs projets
A l’épiphanie, comme le veut une très ancienne tradition, les enfants s’habillent en rois mages ou en bergers et vont porter la Bonne Nouvelle de Jésus dans leur quartier ou leur village. Ces Chanteurs à l’Étoile viennent pour chanter la joie de Noël et bénir les maisons et leurs habitants en laissant une inscription à la craie ou en offrant une étoile.
L’action est solidaire : les enfants chantent en union avec les autres enfants du monde et proposent aux personnes visitées de donner un peu d’argent dans le cadre de l’Enfance Missionnaire.
Cette année, celle-ci soutient le projet de la « Finca del Nino » (la ferme des enfants) en Colombie. Les enfants qui vivent dans cette ferme sont tous de la région (Amazonie colombienne), de la ville ou de la campagne. Ils ont entre 8 et 13 ans. Tous ont déjà beaucoup souffert. Certains ont vu leurs parents tués, d’autres ont été battus, d’autres encore ont été obligés de travailler dur dans les mines ou ont été abandonnés.

La « Finca del Nino » se veut un foyer où il fait bon vivre, se savoir aimé comme en famille et où les enfants peuvent vivre normalement malgré les blessures de la vie.

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