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Extraits Sonores

Quand il n’achève pas son travail, je me dis : il est paresseux.
Quand moi, je n’achève pas mon travail, c’est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand il parle de quelqu’un, c’est de la médisance.
Quand je le fais, c’est de la critique constructive.
Quand il tient à son point de vue, c’est un entêté.
Quand je tiens à mon point de vue, c’est de la fermeté.
Quand il prend beaucoup de temps pour faire quelque chose, il est lent.
Quand je prends beaucoup de temps pour faire quelque chose, je suis soigneux.
Quand il est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand je suis aimable, je suis vertueux.
Quand il est rapide pour faire quelque chose, il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile.
Quand il fait quelque chose sans qu’on lui dise, il s’occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi, je fais quelque chose sans qu’on me le dise, je prends des initiatives.
Quand il défend ses droits, c’est un mauvais esprit.
Quand moi, je défends mes droits, je montre du caractère.

Pierre Descouvemont

 

Je n'aurai pas le temps
Michel Fugain, Pierre Delanoé

Je n'aurai pas le temps
Pas le temps
Même en courant
Plus vite que le vent
Plus vite que le temps
Même en volant
Je n'aurai pas le temps
Pas le temps
De visiter
Toute l'immensité
D'un si grand univers
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps
De tout faire.

J'ouvre tout grand mon cœur
J'aime de tous mes yeux
C'est trop peu
Pour tant de cœurs
Et tant de fleurs
Des milliers de jours
C'est bien trop court
C'est bien trop court
Et pour aimer
Comme l'on doit aimer
Quand on aime vraiment
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps
Pas le temps
Je n'aurai pas le temps
Pas le temps...

Ils étaient bons amis. Ils voyageaient dans le désert. Mais, ce jour-là, une dispute éclata. A bout d’arguments, l’un des deux gifla l’autre. L’ami humilié s’arrêta et de son doigt, écrivit dans le sable : « Aujourd’hui, mon ami m’a giflé ».  Ils continuèrent leur voyage en silence.
Au bout de plusieurs jours, ils se retrouvèrent au bord d’un fleuve qu’il leur fallait traverser à la nage. Ils se jetèrent à l’eau, mais après quelques brassées, celui qui avait été giflé se mit à couler. Son ami, alors, le prit à bras le corps et l’amena sur l’autre rive. Revenu à lui, le rescapé chercha une grosse pierre, et, sur celle-ci, grava avec un stylet : « Aujourd’hui, mon ami m’a sauvé de la noyade».

- Pourquoi lors de notre dispute, as-tu écrit ton message dans le sable et aujourd’hui, le graves-tu sur la pierre ? demanda le sauveteur.
- Quand un ami nous offense, répondit le rescapé, il faut l’écrire sur le sable afin que, rapidement, le vent du pardon l’efface. Mais lorsqu’un ami est bon pour nous, il faut le graver dans la pierre pour que jamais le cœur ne l’oublie.

Le sable et la pierre, légende arabe.

Wild World
Cat Stevens

Now that I've lost everything to you
You say you wanna start something new
And it's breakin' my heart you're leavin'
Baby, I'm grievin'
But if you want to leave, take good care
I hope you have a lot of nice things to wear
But then a lot of nice things turn bad out there

Oh, baby, baby, it's a wild world
It's hard to get by just upon a smile
Oh, baby, baby, it's a wild world
I'll always remember you like a child, girl

You know I've seen a lot of what the world can do
And it's breakin' my heart in two
Because I never wanna see you a sad girl
Don't be a bad girl

But if you want to leave, take good care
I hope you make a lot of nice friends out there
But just remember there's a lot of bad and beware

Chorus

Baby, I love you
But if you wanna leave, take good care
I hope you make a lot of nice friends out there
But just remember there's a lot of bad and beware

Chorus (twice)

Il y eut un temps où je faisais reproche à mon prochain, si sa religion n'était pas proche de la mienne ; mais à présent mon cœur accueille toute forme : il est une prairie pour les gazelles, un cloître pour les moines, un temple pour les idoles, une Kaa'ba pour le pèlerin, les tables de la Thora et le livre du Coran. Je professe la religion de l'amour, et, quelle que soit la direction que prenne sa monture, cette religion est ma religion et ma foi.
Ibn al-Arabî  / 1165 - 1241

Ige Herouvimy 
Traditionnel orthodoxe

Ige, Ige, herouvimy,
taino, taino, obrazouiouchtche.
 
I gyvotvoriach tchei
Troitze trisviatouiou pesñ pripe vaiouchtche.
Vsiacoié nyne gyteiscoié otlogympopetche niié
Amin laco da Tzaria vseh podymem, podymem.
 
Anguelskimi nevidimo dorinosima tchnin mi.
 
Allilouia, allilouia, allilouia.

Nous qui mystiquement représentons les chérubins et chansons à la vivante Trinité l'hymne trois fois saint, déposons maintenant toute pensée terrestre, afin que nous élevions le Roi de toutes choses, porté en triomphe vers l'invisible par les armées angéliques. Alleluia, Alleluia, Alleluia

Tout ce dont j'ai besoin c'est d'Amour pour pouvoir vivre comme un homme libre
Enlever les entraves de la vie matérielle
Se débarrasser du superflu et aller vers l'essentiel
Bâtir des relations solides d'Être à Être
Déchirer chaque jour un peu plus le voile du paraître
Tout ce dont j'ai besoin c'est d'Amour pour me connaître moi et puis les autres
Pour comprendre qu'on ne fait tous qu'un malgré le nombre
Et voir que le multiple finalement nous fait de l'ombre
Se séparer c'est dissocier la vague de l'océan
Quelle vanité on est pur néant
Tout ce dont j'ai besoin c'est d'Amour, de Paix et d'Unité
Pour qu'on puisse communier dans l'Amour et le respect

Le langage du cœur, Abd Al Malik

L'île Hélène
Claude Nougaro

Assis sur un banc devant l'océan
Devant l'océan égal à lui-même
Un homme pensif, se masse les tifs
Interrogatif, à quoi pense t il
A quoi pense-t-il livré à lui-même
Il pense à son île, son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime

Assis sur un banc devant l'océan
L'océan jamais tout à fait le même
Dans le bruit lascif autour des récifs
Que la vague enchaîne
À quoi rêve-t-il l'éternel bohème
Il rêve à une île dont le littoral
A le pur profil de l'amour total

Assis sur un banc devant l'océan
Devant globalement la terre tout entière
Qui jamais n'enterre ses haches de guerre
Ou si peu si guère que c'est faire semblant
Il pense que le vent fraîchit sur sa joue
Il pense que l'amour sait vous mettre en joue
Ban ban ban

Il pense surtout devant l'océan
Bel esclave bleu qui remue ses chaînes
Il pense à son île à son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime
Pense-t-elle à son il ?

Je fais le rêve qu'un jour « toute vallée soit comblée, toute montagne et toute colline abaissées, que les lieux accidentés se changent en plaine et les escarpements en large vallée, alors la gloire du Seigneur sera révélée, et tout ce qui est chair la verra ».

Telle est notre espérance. Telle est la foi avec laquelle je repartirai dans le Sud. Forts de cette foi, nous pourrons tailler dans la montagne du désespoir une pierre d'espoir. Forts de cette foi, nous pourrons transformer les stridentes discordes de notre nation en une merveilleuse symphonie de fraternité. Forts de cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, aller en prison ensemble, défendre la liberté ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres. Ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter en lui donnant un sens nouveau.

Isaïe, 40 4-5 ; Martin Luther King


 

Elijah Rock

Elijah Rock Shout, Shout!
Elijah Rock Comin' up Lord.
Satan's a liar an' a conjure too.
If you don't mind out, he'll conjure you.
If I could, I surely would just stand on the rock where Moses stood.
Rock a Elijah Rock
Elijah, Elijah, Elijah Rock

We're gonna shout, shout!
Shout, Shout about

Elijah Rock, Comin' up,
Elijah Rock, Comin' up,

Elijah Rock, Comin' up Lord

Ça commence par un moment de flottement quand le soleil recule
Un parfum d’hésitation qu’on appelle le crépuscule
Les dernières heures du jour sont avalées par l’horizon,
Pour que la nuit règne sans partage, elle a gagné, elle a raison
En fait j’aime cet instant, j’vois le changement d’atmosphère
Et si j’y pense un peu j’me demande comment ça peut se faire
Ce miracle quotidien, le perpétuel mystère
Qui fait qu’en quelques secondes on passe du côté obscur de la terre.

Voici une note pour la nuit, les nuits, les miennes les tiennes
Je ne sais pas comment tu les vis moi mes nuits m’appartiennent
Je les regarde je les visite c’est mon royaume mon château
Je les aime et c’est tant mieux parce que j’aime pas me coucher tôt
J’te parle pas des nuits parisiennes, des lumières et des décibels
J’préfère celles du silence et d’la pénombre qui est si belle.

La nuit, Grand Corps Malade

Au clair de ma plume
Jean-Jacques Goldman

Viennent mes nuits et vous voici
Dociles enfin, vous que je chasse
Et que je poursuis
Chagrin matin, je n'y peux rien
Vous repartez sans la moindre trace
Sans un pli

J'en arrive à préférer mes rêves
A redouter l'aube qui vous enlève
Tout me semble facile et si beau
Avant la citrouille et les crapauds

Au clair de ma plume mes amis les mots
Prêtez-moi la lune pour écrire à mon Pierrot
Aux jours les écumes, nuits j'oublie mes maux
Je n'ai plus de chandelle et mort le feu
Le jour est cruel, oh restez un peu
Je me sens si belle dans vos doux yeux
Le monde m'emmêle et m'en veut

J'ai beau fermer tous mes volets
Blottie sans bruit dans la plus profonde obscurité

J'attends cachée, mais rien n'y fait
Malins méfiants rien ne vient dans les rêves éveillés

Cette enfant je la redeviendrai
Ces visages aimés je les reverrai
Peut-être qu'un beau jour en secret
En belle nuit je le changerai

Les nuits seront l'indubitable réel
Les jours aux fables feront jumeaux jumelles
Nous vivrons des rêves et rêverons de sommeil
Dans un grand feu je brûlerai des millions
De sonneries d'affreux réveils

Au clair de ma plume mes amis les mots
Prêtez-moi la lune pour écrire à mon Pierrot
Aux jours les écumes, nuits j'oublie mes maux
Je n'ai plus de chandelle et mort le feu
Le jour est cruel, oh restez un peu
Je me sens si belle dans vos doux yeux
Le monde m'emmêle et m'en veut

Viennent mes nuits, et vous voici...

Où que tu sois à travers les continents, toi qui voudrais percevoir le mystère qui est au cœur de ton cœur, pressens-tu la beauté profonde de l'âme humaine ?
Quelle est-elle, cette beauté cachée ? Elle est dans l'audace d'une attente. Même si nous l'ignorons, un des désirs les plus intimes de notre être est d'aimer. Sans amour, notre vie trouverait-elle un sens ?
Que Dieu m'aime est une réalité parfois peu accessible. Mais vienne le jour d'une découverte: en me laissant atteindre par son amour, ma vie s'ouvre aux autres.

Frère Roger

Magnify the Lord 
Michael O'Shields

O magnify the Lord
For He is worthy
To be praised
O magnify the Lord
For He is worthy
To be praised
Hosanna
Blessed be the Rock
Blessed be the Rock

of my salvation

 

Il y avait une fois, il y a bien longtemps de cela, dans un petit village, un atelier de charpentier. Un jour que le Maître était absent, les outils se réunissent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole : « Il nous faut, dit-il, exclure notre sœur la scie car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde ».
Un autre dit : « Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a un caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche ».
« Quant au frère marteau, dit un troisième, je lui trouve un caractère assommant et tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le ».
« Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont un caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent ! Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit de toujours froisser ».

Ainsi discouraient en grand tumulte les outils du charpentier. Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était le marteau qui accusait la scie, et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi car, à la fin de la séance, tout le monde était exclu.
La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi. Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche. Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse… tous entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau, pour accueillir l’enfant à naître, pour accueillir la vie.

Conte anonyme

Thula baba

Refrain
Thula, thul', thula baba, thula sana.
Thul'u bab' uzo fika eku seni.

Kukh'kakanyezi ziholel'u baba
Zimkhanyisela indlel'eziye khaya

Refrain

Sobesikhona xa bonke beshoyo
Bethi buyela ubuyelekhaya.

Thula, thula, thula baba
Thula, thula, thula sana
Thula, thula, thula baba
Thula, thula, thula san'

Tais-toi mon enfant
Tais-toi mon bébé

Soyez tranquille, papa sera à la maison à l'aube
Il y a une étoile qui le mènera à domicile
L’étoile va illuminer le chemin du retour
Les collines et les pierres sont toujours les mêmes mon amour
Ma vie a changé, oui, ma vie a changé
Les enfants grandissent, mais vous ne savez pas mon amour
Les enfants ont grandi, mais vous ne les voyez pas grandir

Partir à la rencontre.
Entrer en relation.
C’est d’abord apprendre à se quitter soi-même.
C’est aussi sortir de sa forteresse.
Ce n’est pas se mettre en avant,
C’est laisser l’autre s’avancer.
C’est apprendre à donner,
Mais aussi à recevoir.
C’est accepter d’être surpris,
D’être remis en cause.
C’est ne jamais juger sur l’apparence :
Elle est parfois si trompeuse.
L’essentiel
Est toujours invisible pour les yeux.
Que de souffrances se cachent parfois
Derrière la violence.
Que d’incompréhension
Derrière la vivacité des provocations !
Entrer en relation,
C’est vouloir vivre la différence,
Non pas comme une menace,
Mais comme une source d’enrichissement.

Ouvrir tes yeux et ton cœur, Jean-Marie Petitclerc


Somebody to love 
Queen

Can anybody find me somebody to love
Oh, each morning I get up I die a little
Can barely stand on my feet
Take a look in the mirror and cry
Lord what you're doing to me
I have spent all my years in believing you
But I just can't get no relief, lord!
Somebody, somebody, oh somebody, somebody
Can anybody find me somebody to love ?

Yeah
I work hard every day of my life
I work till I ache my bones
At the end
I take home my hard earned pay all on my own
I get down on my knees
And I start to pray
Till the tears run down from my eyes
Lord - somebody - somebody, oh somebody
Can anybody find me somebody to love ?

Everyday I try and I try and I try
But everybody wants to put me down
They say I'm going crazy
They say I got a lot of water in my brain
Ah, got no common sense
I got nobody left to believe in

Oh lord
Oh somebody - oh somebody
Can anybody find me somebody to love ?

Got no feel, I got no rhythm
I just keep losing my beat I'm ok, I'm alright
I ain't gonna face no defeat
I just gotta get out of this prison cell
One day I'm gonna be free, Lord!

Find me somebody to love...


J’ai voulu faire de notre amour cette chose vivante d’une heure à l’autre qui élargit les contours, repousse les limites explose !
Une chose si voisine de la lumière si légère !
J’ai voulu faire de notre amour ma foi, mon crédo mon cantique, notre église de prière ;
J’ai voulu faire de notre amour ce bateau ivre, ma seule soif ; une coque ronde, chavirée de caresses une entente avec la terre ; j’ai voulu faire de notre amour ce chemin de joies pures de toi à moi.

De mes deux ailes coupées, Anne Marie Lopez Del Rio


Every Breath You Take
Sting

Every breath you take
Every move you make
Every bond you break
Every step you take
I'll be watching you

Every single day
Every word you say
Every game you play
Every night you stay
I'll be watching you

Oh can't you see
You belong to me
How my poor heart aches
With every step you take

Every move you make
Every vow you break
Every smile you fake
Every claim you stake
I'll be watching you

Since you've gone I've been lost without a trace
I dream at night I can only see your face
I look around but it's you I can't replace
I feel so cold and I long for your embrace
I keep crying baby, baby please

Oh can't you see
You belong to me
How my poor heart aches
With every step you take

Every move you make
Every vow you break
Every smile you fake
Every claim you stake
I'll be watching you

Every move you make
Every step you take
I'll be watching you

Un vieux rabbin évoquait cette image : « Chacun de nous est relié à Dieu par un fil. Lorsqu’on commet une faute, le fil se casse. Mais lorsqu’on regrette sa faute, Dieu fait un nœud dans le fil. Le fil s’en trouve raccourci… et le pécheur est plus près de Dieu ! »
Ainsi de faute en repentir et de nœud en nœud, nous allons quand même vers Dieu. Chacun de nos péchés peut devenir l’occasion de nous rapprocher de son cœur. Tout est grâce, même les péchés.

Paraboles pour aujourd’hui, J. Vernette

Le rêve du pêcheur
Alain Souchon - Laurent Voulzy

J'ai un rêve
Le rêve que j'ai
Tout l' monde le fait
Je rêve d'eau
Mais d'océan
Ah ! l'océan
Au sud et vivre de pêche
Mais les rêves on les empêche.

Jeter dans l'eau
Jeter des filets
Jeter des filets dans l'eau
Un bateau.

Être heureux dessus
Être sur un bateau
Je rêve d'eau Mais d'océan
Ah ! l'océan
Pêcher des poissons dedans.
Pêcher, pêcher
Ici c'est faire des péchés
Avoir le cœur empêché
Faire mal
Pêcher là-bas
Ce n'est que pêcher
Le vent les poissons moqueurs
Donnent bon cœur.

Sous la lune
Et les étoiles
Pêcher en bateau à voiles
Rentrer le matin
Soleil levant
Ah ! oui le vent
Pêcher des baisers dedans.

Rêver d'être meilleur aussi
Oh ! meilleur !
Dans la vie qui se dépêche
Rêver d'être ailleurs qu'ici
Être ailleurs.

Vivre simplement de pêche
Mais les rêves on les empêche.

De l'eau fraîche
Vivre d'amour
Vivre d'amour et d'eau fraîche
Je rêve d'eau
Mais d'océan
Ah ! l'océan
Vivre la vie autrement.

Redécouvrons les choses ordinaires, le charme simple de l'amitié, des fleurs pour un malade, une porte ouverte, une table conviviale, une poignée de main, un sourire, le silence d'une église, le dessin d'un enfant, l'éclosion d'une fleur, le chant d'un oiseau, un ruisseau, une montagne, une vache... La vie peut devenir une fête, mais cette fête ne dure qu'une vie.

Cantarelle

 

Le Cercle De La Vie (Le roi lion)
Hanz Zimmer, Lebo M - Elton John, Tim Rice

Dès le jour aveuglant de lumière
Où l'enfant s'éveille à la vie.
Il y a trop à faire, dans un monde trop grand.
Trop à voir, sous un ciel infini.

Ummh... Des mystères encore insondables
Nous attendent à chaque aube nouvelle.
Mais de jours en semaines,
Le soleil entraîne

Toutes créatures en un cycle éternel.

 

C'est le cercle de la vie !
Celui qui nous mène
À travers l'espoir, Douleur à joie !
Jusqu'au jour enfin,
Où l'on trouve sa place !
Dans le cercle, Le cercle de la vie.

C'est le cercle de la vie !
Celui qui nous mène
A travers l'espoir, Douleur et joie !
Jusqu'au jour enfin,
Où l'on trouve sa place !
Dans le cercle, Le cercle de la vie !

 

L’association Sportive et Culturelle (ASC)
Oberdorf-Spachbach

 L’ASC Oberdorf-Spachbach a été créée en 1983 dans le but de proposer des animations dans le village à travers des fêtes, des activités mercredis créatifs pour les jeunes, et du sport (football fé­minin et masculin, tennis de table, pétanque, sorties pédestres...).
Les nombreuses manifestations organisées par l’association tout au long de ces années ont permis notamment d’aménager une aire de jeux dans le village, de réaliser un terrain de football et de construire un club-house.
Au cours de l’année 1998, l’envie de nous investir dans l’humani­taire a été suscitée par la rencontre avec M. Georges BRICHLER qui œuvre à Madagascar depuis 1990.
Notre association compte en 2011 une trentaine de membres.
  

Le Foyer du Coeur

Par sa bonté, M. Georges BRICHLER a créé le Foyer du Cœur à Tananarive (capitale de Madagascar) en décembre 2006. Le Foyer du Cœur a pour objectif d’offrir des repas du lundi au vendredi aux personnes âgées qui vivent dans la précarité et l’isolement, et de leur distribuer des rations de nourriture chaque mois.
Le Foyer du Cœur propose également des activités culturelles et spirituelles aux personnes âgées, telles que danses traditionnelles malgaches et spectacles présentés lors des fêtes, pèlerinages, jeux de société, etc. pour les sortir de leur misère quotidienne et créer des liens amicaux entre elles.
Mme Brunette KAMARY est Présidente du Foyer du Cœur, et c’est entourée de son équipe qu’elle assure le bon fonctionnement du Foyer du Cœur.
En 2010, l’association Foyer du Cœur / Georges BRICHLER a obtenu le statut de fondation, abritée par la Fondation des petits frères des Pauvres.

Notre action humanitaire à Madagascar

En 1999, l’ASC Oberdorf-Spachbach a financé et construit un dispensaire pour personnes âgées, avec les dons récoltés lors de différentes manifestations organisées. De cette action de solidarité, les Nations Unies nous ont décerné le label « Année internationale des personnes âgées 1999 ».
Depuis, nous contribuons à la rémunération de Mme Brunette KAMARY, qui fait preuve d’une générosité exemplaire et d’un travail exceptionnel au Foyer du Cœur.
Afin de garantir la distribution des 200 repas, cinq jours par semaine, et de pérenniser notre action, votre aide sera la bien­venue : au Foyer du Cœur, 10 € permettent d’offrir un repas complet et consistant (composé d’un bouillon, de riz, viande, légumes et dessert) pendant 1 mois, à une personne âgée à Madagascar.
Nul besoin de remerciements, les sourires des personnes âgées témoignent de leur reconnaissance.

Vos dons seront d’un grand soutien pour aider les personnes âgées malgaches à vieillir dans la dignité.
Merci pour votre générosité !

http://foyerducoeur.com
http://www.facebook.com/ASCoberdorfspachbach.Foyerducoeur

 

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