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Extraits Sonores

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.

Paul Eluard

Everybody sing freedom

Oh, freedom!
Oh, freedom!
Oh freedom over me.

But before I'd be a slave
I'll be buried in my grave
And go home to my lord and be free.

No more crying!
No more crying!
No more crying over me!

But before I'd be a slave
I'll be buried in my grave
And go home to my lord and be free.

No more shooting!
No more shooting!
No more shooting over me!

But before I'd be a slave
I'll be buried in my grave
And go home to my lord and be free.

No more running!
No more running!
No more running over me!

But before I'd be a slave
I'll be buried in my grave
And go home to my lord and be free.

Je prendrai par la main les deux petits-enfants ;
J'aime les bois où sont les chevreuils et les faons,
Où les cerfs tachetés suivent les biches blanches
Et se dressent dans l'ombre e7rayés par les
branches ;
Car les fauves sont pleins d'une telle vapeur
Que le frais tremblement des feuilles leur fait peur.
Les arbres ont cela de profond qu'ils vous montrent
Que l'éden seul est vrai, que les coeurs s'y rencontrent,
Et que, hors les amours et les nids, tout est vain ;
Théocrite souvent dans le hallier divin
Crut entendre marcher doucement la ménade.
C'est là que je ferai ma lente promenade
Avec les deux marmots. J'entendrai tour à tour
Ce que Georges conseille à Jeanne, doux amour,
Et ce que Jeanne enseigne à George. En patriarche
Que mènent les enfants, je réglerai ma marche
Sur le temps que prendront leurs jeux et leurs repas,
Et sur la petitesse aimable de leurs pas.
Ils cueilleront des =eurs, ils mangeront des mûres.
Ô vaste apaisement des forêts ! ô murmures !
Avril vient calmer tout, venant tout embaumer.
Je n'ai point d'autre a7aire ici-bas que d'aimer.

Victor Hugo, L’art d’être grand père

 

Cécile ma fille
Claude Nougaro

Elle voulait un enfant
Moi, je n'en voulais pas
Mais il lui fut pourtant facile
Avec ses arguments
De te faire un papa
Cécile, ma fille

Quand son ventre fut rond
En riant aux éclats
Elle me dit : "allons, jubile,
Ce sera un garçon"
Et te voilà
Cécile, ma fille

Et te voilà et me voici, moi
Moi, j'ai trente ans, toi six mois
On est nez à nez, les yeux dans les yeux
Quel est le plus étonné des deux?

Bien avant que je t'aie,
Des filles, j'en avais eues,
Jouant mon cœur à face ou pile
De la brune gagnée à la blonde perdue
Cécile, ma fille

Et je sais que bientôt
Toi aussi tu auras
Des idées et puis des idylles,
Des mots doux sur tes hauts
Et des mains sur tes bas
Cécile, ma fille

Moi, je t'attendrai toute la nuit
T'entendrai rentrer sans bruit
Mais au matin, c'est moi qui rougirai
Devant tes yeux plus clairs que jamais

Que toujours, on te touche
Comme moi maintenant
Comme mon souffle sur tes cils
Mon baiser sur ta bouche
Dans ton sommeil d'enfant
Cécile, ma fille
Cécile

Nous avons tous connu des moments de pure joie  devant une beauté inattendue de la nature : les jaunes flamboyants d'un arbre d'automne dans le soleil, la montée suave du parfum de fleurs d'acacia le soir tombant, une biche tombée en arrêt devant nous en forêt...  Mary Coleridge décrit un de ces moments dans son poème The Bluebird, le Merle bleu de Montagne :

« Le lac s’étale, bleu, au fond de la vallée.
Dans le ciel passe un oiseau bleu azur ;
Il traverse les eaux calmes et froides.
Et, pendant un court instant,
on image se reflète, bleu sur lac bleu. »

The bluebird
Charles Villiers Stanford / Mary E. Coleridge

The lake lay Blue, below the hill.
O'er it, as I looked, there flew across the water
Cold and still, a bird,
Whose wings were palest blue.
The sky above was blue at last.

The sky beneath me blue in blue
A moment, ere the bird had passed.
It caught his image as he flew
The lake lay blue below the hill. 

 

Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin,
Qui, tel qu'un voyageur qui part de grand matin,
Se réveille, l'esprit rempli de rêverie,
Et, dès l'aube du jour, se met à lire et prie !
À mesure qu'il lit, le jour vient lentement
Et se fait dans son âme ainsi qu'au firmament.
Il voit distinctement, à cette clarté blême,
Des choses dans sa chambre et d'autres en lui-même ;
Tout dort dans la maison; il est seul, il le croit ;
Et, cependant, fermant leur bouche de leur doigt,
Derrière lui, tandis que l'extase l'enivre,
Les anges souriants se penchent sur son livre.

Victor Hugo

Au clair de ma plume
Jean-Jacques Goldman

Viennent mes nuits et vous voici
Dociles enfin, vous que je chasse
Et que je poursuis
Chagrin matin, je n'y peux rien
Vous repartez sans la moindre trace
Sans un pli

J'en arrive à préférer mes rêves
A redouter l'aube qui vous enlève
Tout me semble facile et si beau
Avant la citrouille et les crapauds

Au clair de ma plume mes amis les mots
Prêtez-moi la lune pour écrire à mon Pierrot
Aux jours les écumes, nuits j'oublie mes maux
Je n'ai plus de chandelle et mort le feu
Le jour est cruel, oh restez un peu
Je me sens si belle dans vos doux yeux
Le monde m'emmêle et m'en veut

J'ai beau fermer tous mes volets
Blottie sans bruit dans la plus profonde obscurité
J'attends cachée, mais rien n'y fait

Malins méfiants rien ne vient dans les rêves éveillés
 Cette enfant je la redeviendrai
Ces visages aimés je les reverrai
Peut-être qu'un beau jour en secret
En belle nuit je le changerai

Les nuits seront l'indubitable réel
Les jours aux fables feront jumeaux jumelles
Nous vivrons des rêves et rêverons de sommeil
Dans un grand feu je brûlerai des millions
De sonneries d'affreux réveils

Au clair de ma plume mes amis les mots
Prêtez-moi la lune pour écrire à mon Pierrot
Aux jours les écumes, nuits j'oublie mes maux
Je n'ai plus de chandelle et mort le feu
Le jour est cruel, oh restez un peu
Je me sens si belle dans vos doux yeux
Le monde m'emmêle et m'en veut

Viennent mes nuits, et vous voici...

Quand deux cœurs en s'aimant ont doucement vieilli,
Oh ! Quel bonheur profond, intime, recueilli !
Amour ! Hymen d'en haut ! Ô pur lien des âmes !
Il garde ses rayons même en perdant ses flammes.
Ces deux cœurs qu'il a pris jadis n'en font plus qu'un.
Il fait, des souvenirs de leur passé commun,
L'impossibilité de vivre l'un sans l'autre.
- Chérie, n'est-ce pas ? Cette vie est la nôtre !
Il a la paix du soir avec l'éclat du jour,
Et devient l'amitié tout en restant l'amour !

Victor Hugo

One
U2

Is it getting better?
Or do you feel the same?
Will it make it easier on
you now?
You got someone to blame
You say
One love
One life
When it's one need
In the night
One love
We get to share it
Leaves you baby if you
Don't care for it
Did I disappoint you?
Or leave a bad taste in your
mouth?
You act like you never had
love
And you want me to go
without
Well it's
Too late
Tonight
To drag the past out into
the light
We're one, but we're not
the same
We get to
Carry each other (bis)
One
Have you come here for
forgiveness?
Have you come to raise the
dead?
Have you come here to
play Jesus?
To the lepers in your head.


Did I ask too much?
More than a lot.
You gave me nothing,
Now it's all I got
We're one
But we're not the same
Well we
Hurt each other
9en we do it again
You say
Love is a temple
Love a higher law
Love is a temple
Love the higher law
You ask me to enter
But then you make me
crawl
And I can't be holding on
To what you got
When all you got is hurt.
One love
One blood
One life
You got to do what you
should
One life
With each other
Sisters
Brothers
One life
But we're not the same
We get to
Carry each other (bis)
One (bis)

 

Il y eut un temps où je faisais reproche à mon prochain, si sa religion n'était pas proche de la mienne ;
mais à présent mon cœur accueille toute forme :
il est une prairie pour les gazelles,
un cloître pour les moines,
un temple pour les idoles,
une Kaa'ba pour le pèlerin,
les tables de la Thora et le livre du Coran.

Je professe la religion de l'amour, et, quelle que soit la direction que prenne sa monture, cette religion est ma religion et ma foi.

Texte d’Ibn al-Arabî, poète et théologien arabe du 12e siècle.  1165 - 1241


Ige herouvimy
Traditionnel orthodoxe

Ige, Ige, herouvimy,
taino, taino, obrazouiouchtche.
I gyvotvoriach tchei
Troitze trisviatouiou pesñ pripe vaiouchtche.
Vsiacoié nyne gyteiscoié otlogympopetche niié
Amin laco da Tzaria vseh podymem, podymem.
Anguelskimi nevidimo dorinosima tchnin mi.
Allilouia, allilouia, allilouia.

 

Nous qui mystiquement
représentons les chérubins et
chansons à la vivante Trinité
l'hymne trois fois saint,
déposons maintenant toute
pensée terrestre, afin que nous
élevions le Roi de toutes
choses, porté en triomphe vers
l'invisible par les armées
angéliques. Alleluia, Alleluia

 

Difficile d'être soi dans un monde formaté par les stéréotypes.
Alors on se renferme et se range tranquillement dans les rangs. Mais le voyageur ne connaît pas ce sentiment car son but n'est pas de plaire mais bien de vivre. Alors voyager, c'est un peu fuir, un peu se rebeller pour pouvoir être. On se découvre à travers les autres et les situations que l'on vit, on se découvre des failles et des qualités que l'on ne se connaissait pas si l'on s'était rangé, comme tout le monde. C'est aussi fuir une vie de tous les jours, une vie de médium de quartier qui saurait prédire l'avenir car tous les jours se ressemblent. Voyager, c'est risquer de ne pas savoir, c'est s'offrir de ne pas savoir...

Texte d’Aurélien Lainé

Emmenez-moi
Charles Aznavour

Vers les docks où le poids et l'ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux

Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages

Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus
Sur les plages

Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord

Refrain
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil

Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de d'elles et d'amour
Un verre à la main

Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève

Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve

Quand les bars ferment, que les
marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port

Refrain

Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le coeur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de =eurs
Qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le coeur libéré
En chantant très fort
Refrain

Ils y’en a qui donneraient tout pour changer d’époque
Pour gagner le cœur d’une autre ou éviter les chocs
Y’en a certains qui veulent tout
Le dessus et les dessous
Ils y’en a qui n'veulent jamais
Dormir au même endroit
Qui rêvent de sauver le monde ou d’inventer des lois
Pour des hommes et des idées
Pour des femmes et des années
On rêve tous d’attraper une étoile

Moi je veux vieillir avec toi
C’est mon plus beau rêve ici-bas
Oui Je veux vieillir contre toi
C’est mon plus grand rêve ici-bas

Vieillir Avec Toi, paroles de Marie Bastide

Stand by me

When the night has come
And the land is dark
And the moon is the only light we'll see

No, I won't be afraid
No, I won't be afraid
Just as long as you stand, stand by me

So darlin', darlin'
Stand by me
Oho, stand by me
Oh, stand, stand by me
Stand by me

If the sky that we look upon
Should tumble and fall
And the mountains should crumble to the sea

 

I won't cry, I won't cry
No, I won't shed a tear
Just as long as you stand, stand by me

And darlin', darlin'
Stand by me
Oho, stand by me
Oh, stand now
Stand by me, stand by me

And darlin', darlin'
Stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand now
Stand by me, stand by me

Whenever you're in trouble
Won't you stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand by me, stand by me

 

 

Pourquoi voyager ?
Parce que c'est l'avenir de l'humanité. Partir découvrir ceux que l'on ne connaît pas, s'offrir pour apprendre, s'ouvrir pour être. Ce n'est pas la facilité que certains peuvent imaginer mais c'est notre choix et même si le cœur saigne parfois, c'est pour rappeler au voyageur à quel point sa vie est belle.

Aurélien Lainé

On the road again
Bernard Lavilliers

Nous étions jeunes et larges d'épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
On the road again, again

Au petit jour on quittait l'Irlande
Et derrière nous s'éclairait la lande
Il fallait bien un jour qu'on nous pende
On the road again, again

La mer revient toujours au rivage
Dans les blés mûrs y a des fleurs sauvages
N'y pense plus, tu es de passage

On the road again, again

Nous étions jeunes et larges d'épaules
On attendait que la mort nous frôle
Elle nous a pris les beaux et les drôles
On the road again, again

Ami sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours
Tu partiras encore plus lourd
On the road again, again

Et je serai face à la mer
qui viendra baigner les galets.
Caresses d’eau, de vent et d’air.
Et de lumière. D’immensité.
Et en moi sera le désert.
N’y entrera que ciel léger.
Et je serai face à la mer
qui viendra battre les rochers.
Giflant. Cinglant. Usant la pierre.
Frappant. S’infiltrant. Déchaînée.
Et en moi sera le désert.
N’y entrera ciel tourmenté.
Et je serai face à la mer,
statue de chair et cœur de bois.
Et me ferai désert en moi.
Qu’importera l’heure. Sombre ou claire…

Évasion de Esther Granek


Dieu que c’est beau
Daniel Balavoine

La muraille
Tremble et se fend
Comme un coeur qui éclate en deux
Et la femme
Entre dans l'histoire
Comme arrive l'oeuvre d'un Dieu
L'homme né sans mémoire
Reconnaît l'Ève qu'il veut
Brise l'avenir
Et nous fait monter aux yeux
Les sanglots
Le péché leur fait chaud
Dieu que c'est beau
Oh que c'est beau
La muraille
Penche et se tord
Pour faire un toit aux amoureux
Et la femme
Au ventre arrondi
Se remplit d'un nouveau feu
L'homme sur l'avenir

Met ses mains et fait un voeux
Ève doit sou7rir
Pour faire naître sous nos yeux
Le héros
Qui sort sous les bravos
Dieu que c'est beau
Oh que c'est beau
C'est de l'amour
Et le fruit du péché est très beau
L'enfant crie
Tue le serpent
L'ordre est nouveau
Lève la foule
Et admire l'enfant sorti des eaux
La terre tourne
Oh Dieu que c'est beau

Tu te rappelleras de moi lorsque le vent d'Ouest soufflera
Sur les champs d'orge.
Tu oublieras le soleil dans son ciel jaloux
Alors que nous marcherons dans des champs d'or.

Alors elle prit son amour pour porter son regard un instant
Sur les champs d'orge.
Elle s'effondra dans ses bras alors que sa chevelure se déversait
Parmi les champs d'or.

Je n'ai jamais fait de promesses inconsidérées
Et il y en eu certaines que je n'ai pas tenues.
Mais je jure que pour les jours restants
Nous marcherons dans des champs d'or.

Beaucoup d'années ont passé depuis ces jours d'été
Parmi les champs d'orge.
Vois les enfants courir alors que le soleil se couche
Parmi les champs d'or.

Tu te rappelleras de moi lorsque le vent d'Ouest soufflera
Sur les champs d'orge.
Tu peux le dire au soleil dans son ciel jaloux
Quand nous marchions dans des champs d'or.


Fields of Gold
Sting

Un proverbe nigérien dit : « Un vrai ami, il faut le tenir avec les deux mains »
Les amitiés merveilleuses que nous chérissons tous sont le produit de nos expériences d'enfance et d'adolescence.  Les rôles de l'amitié sont importants, multiples et profonds. Dans la petite enfance, l'ami est  d'abord un compagnon de jeu, puis quelqu'un qui aide et à qui on a  confiance. À l'adolescence, l'amitié participe à la recherche de son identité, de son estime de soi, à développer et tester ses valeurs ;
Et à  l'âge adulte, un ami soutient, partage, écoute.
Comme dans le proverbe nigérien :
Dans la main d'un ami, il faut déposer sa confiance ;
dans son âme, sa compréhension ;
sur ses lèvres, son sourire ;
auprès de lui, sa présence et son aide ;
et dans son cœur, le bonheur de son amitié.

O Sifuni Mungu
David Maddux, Marty McCall, Mmunga Mwenebulongo Mulongoy, Asukulu ’Yunu Mukalay

PViumbe vyo te vya Mungu wetu na Mfal me wetu
Pazeni sauti ilinasi mwimbe
All Men, watu wote, All Creatures, viumbe vyote,
Ev’rybody, awaye yote, Praise the Lord ! sifu Mungu ! (bis)
All creatures of our God and King, O, sifuni Mungu !
lift up your voice and with us sing ! O, sifuni Mungu !
Thou burning sun with golden beam Im beni ! Im beni !
Thou silver moon with softer gleam. Pazeni sauti im beni.
Thou flowing water, pure and clear,
make music for thy Lord to hear !
Thou fire, so master full and bright. Im beni !
That givest man both warmth and light ; Im beni !
Viumbe vyo te vya Mungu wetu (bis)
Pazeni sauti ! Pazeni sauti ! Tu sifu Mungu !
Let all things their Creator bless, O, sifuni Mungu !
and worship Him in humbleness, O, sifuni Mungu !
Praise the Father, praise the Son, Im beni ! Im beni !
and praise the Spirit, 9ree in One ! Pazeni sauti im beni.
O, sifuni Mungu ! O, sifuni Mungu ! Tu sifu Mungu !
Pazeni sauti na wote im beni ! O, sifuni Mungu !

Dans la nuit qui m'environne,
Dans les ténèbres qui m'enserrent,
Je loue les dieux qui me donnent une âme
À la fois, noble et fière.

Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout, bien que blessé.

En ce lieu d'opprobre et de pleurs,
Je ne vois qu'horreur et ombres.
Les années s'annoncent sombres,
Mais je ne connaîtrai pas la peur.

Aussi étroit que soit le chemin,
Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme;
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.

Poème de William Ernest Henley (1849-1903)

 

God only knows
Wilson, Brian Douglas / Asher, Tony

I may not always love you
But long as there are stars above you
You never need to doubt it
I’ll make you so sure about it

God only knows what I'd be without you

If you should ever leave me
9ough life would still go on believe me
9e world could show nothing to me
So what good would living do me

God only knows what I'd be without you

If you should ever leave me
Well life would still go on believe me
9e world could show nothing to me
So what good would living do me

God only knows what I'd be without you...

Accepter le quotidien est pour chacun la chose la plus difficile. On ne veut pas vivre sa vie, on veut vivre une vie différente, celle qu'on a rêvée ou celle des autres. Mais on ne progresse qu'en remplissant d'une présence attentive ses petits moments d'histoire. Lorsqu'on accepte de vivre chacun de ces instants, sans attendre autre chose, on bâtit une plénitude que rien ne peut attaquer. C'est alors que, dans notre vie, rien ne se perd, qu'au contraire, tout se crée.

Placide Gaboury

 

Better Way
Placide Gaboury

I'm a living sunset
Lightning in my bones
Push me to the edge
But my will is stone

Fools will be fools
And wise will be wise
But i will look this world
Straight in the eyes

What good is a man
Who won't take a stand
What good is a cynic
With no better plan

Reality is sharp
It cuts at me like a knife
Everyone i know

Is in the fight of their life
Take your face out of your hands
And clear your eyes
You have a right to your
dreams
And don't be denied
I believe in a better way

 

Équipe Missionnaire de Mutzig

Cantarelle a choisi de donner la recette de la veillée de ce soirà l'Équipe Missionnaire.
Qui sommes-nous ?
Une équipe d'une vingtaine de personnes de la communauté de paroisse de Mutzig, engagée depuis plus de 30 ans pour soutenir des missions en Afrique et en Papouasie Nouvelle-Guinée.
Comment agissons-nous ?
En faisant des actions : vente de pâtisserie et de tableaux, théâtre, concert, correspondance avec les missionnaires, etc…

 

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